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PARTIE I

L’invisible inconscient projeté en images :

La façon dont les troubles mentaux sont illustrés et mis en scène au cinéma

« L’inconscient est invisible, comme le coupable dans les romans policiers. » 

- Fritz Lang


Par cette affirmation, le réalisateur de Métropolis touche du doigt le premier point qui nous intéresse, à savoir : comment mettre en images les troubles de la santé mentale humaine ? 


Il apparaît opportun de commencer cette étude par un bref historique évolutif de la manière dont le cinéma a abordé la thématique des troubles mentaux au cours de son histoire, de ses débuts à la fin du XIXème siècle à nos jours, à travers des exemples précis de films ayant remporté un certain succès (A). 

Par ailleurs, on constate aujourd’hui l’existence d’un très grand nombre de films ayant traité ce sujet. En effet, le potentiel scénaristique que présentent les trouble mentaux dans la construction d’un récit est réellement digne d’intérêt (B).


Encore faut-il savoir les illustrer de façon claire et compréhensible par le spectateur, afin de rendre l’inconscient et le psychisme d’un personnage visible pour tous. Pour ce faire, le cinéma offre des possibilités relativement efficaces et ingénieuses d’un point de vue technique et artistique, répondant ou non à des codes de genre (C).

I. A) Historique de la perception des maladies psychiques au cinéma au fil du temps (Suivant)
Partie I: Texte

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